François Bayle unterscheidet perception auditiv / écoute (?)
Spatialisierungen: grundsätzlich verschiedene Herangehensweisen?

 


vgl 108 230529 Logbuch Paris
Les mines des spatialisateuRes
= steinerne / regungslose Mme Lango (Vorkonzert Otomo/Pitiokos)

  • Lautstärke, ohne jede Anstrengung (Amplification ≠ bodywork)
    provoziert keinen Hustenanfall (keine rauhe Stimme)
    keine Erschöpfung, endless
    bloss eine Frage der attitude
    Länge der Stücke und Lautstärke als Agenc
    aus dem NICHTS

Wo wurde was produziert: zB Musée de l’Homme

 


230529 Michael Gerzon and Ambisonics at Oxford


DIFFUSIONS

  • 1979 „Le crirythme et le mégapneume (contrefaible)” (15′00), Concert mainfeste,
  • […]
  • 1950 41*5 / 10 (3′20), enregistrement chez M. Billaudot, juin.
  • Vous ne pourrez rien pour l’homme seule (4′00), enr. chez M. Billaudot, novembre.
  • 1951 Improvisation – mégapneumes (6′30), enr. chez M. Billaudot, mai.
  • 1953 Vive l’Internationale (4′30), enr. chez l’auteur, 1e janvier.

 

 


Daniel Teruggi (*1952)
on acousmatic music
https://www.youtube.com/watch?v=ipUoRpVK32s

  • note (discrète seprate sounds) ^= sound object (intellectual tool, cassification system)
  • not all the sounds are proper for music – only the musical objects (later abandoned)
  • Ferrari worked with soundscapes / Schaeffer was against it, you cannot use theses kind of sounds
  • → Schaeffer überliess die music concrète den Komponisten…?
  • Bayle renamed the music concrète → acousmatic music

003 Logbuch 221106 IRCAM_méthode de traitement du signal autour de la voix       

221020 IRCAM méthode de traitement du signal autour de la voix»
Ives Laprie, Thomas Heuber, Nathalie H Bernadoni, Axel Roebel

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Seit 1781 dieselbe Problemstellung: eine Stimme nachbauen. Heute nicht mehr mechanisch (Kempelen), sondern digital, zB. mit einem Datensatz eines MRI. Problem: die ProbandInnen müssen im MRI zwar reden, sollten den Kopf aber nicht bewegen, unscharfe Bilder! Der Kopf muss festgeschraubt werden (Moulage?). Aus dem so gewonnen Datensatz wird eine Stimme nachgebaut. Beim Sprechakt werden die Silben antizipiert, die nachfolgende Silbe beeinflusst die vorausgehende, eine zusätzliche Schwierigkeit. Zum Schluss der Tagung lässt Axel Roebel ein KI auf der Grundlage von Sonogrammen eine Stimme generieren. Beide Ansätze werden seit dem Petersburger Preisausschreiben 1781 verfolgt: 1. der gennematische, der auf das Hervorbringen einer akustischen Struktur fokussiert und von der physiologischen Funktionsweise des Sprechinstruments absieht (Roebel). 2. der artikulatorische Ansatz, der „anhand einer maschinellen Rekonstruktion wissenschaftlich exakte Erklärungsmodelle für die menschliche Artikulation sucht.»
Vgl Dissertation: Audioscoring & Leere Stimmen. Praxisorientierte Stimmforschung zu lettristischen und ultra-lettristischen Stimmexperimenten, S.207.

Ives Laprie
Directeur de la recherche au CNRS au LORIA à Nancy. Ses recherches portent sur la synthèse et la modélisation articulatoire, l’analyse de la parole et l’apprentissage du langage. Ces dernières années, il a essentiellement travaillé sur l’exploitation de données IRM temps réel.

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Stimmen mit einem Bilder-Datensatz eines MRI nachbauen. Problem: die ProbandInnen müssen einerseits reden, sollten sich aber nicht bewegen, der Kopf muss festgeschraubt werden (Moulage?). Aus dem Datensatz errechnet ein KI eine Stimme. Problem: beim Sprechakt werden die Silben antizipiert, das heisst die nachfolgende Silbe beeinflusst die vorausgehende…

 

Thomas Heuber
Directeur de recherche au CNRS au GIPSA-Lab de Grenoble
Responsable de l’équipe de recherche CRISSP (Cognitive Robotics, Interactiver Systems, Speech Processig

 

Nathalie H Bernardoni
Directrice de recherche CNRS
De la théorie source-filtre aux interactions pneumo-phono-résonantiels: la compléxité de la voix humai

 

Axel Roebel
Directeur de recherche à l’Ircam et responsable de l’équipe Analyse et synthèse des sons.

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Eine KI analysiert die Sonogramme = deep learning.
Stimm-Synthese aus den ständig wachsenden Datensätzen.

 

 

 

 

 

 

93 Logbuch 230320 #57

Interview mit Simone Rist

Das Interview wurde am 8.12. in Paris in der Wohnung von Simone Rist aufgezeichnet (Transkription: Whisper)

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würde Typographie und Zeilenabstand gerne wählen können

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00.511.30 Schubaendel Fire Eagle
2416101C1 - Fire Swiss Jacke dblau-02
artist girls taking selfie at art studio or school
Artist graffiti with a balloon paint in his hands draws on the wall
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….il y a longtemps. Mais je vais quand même garder des rapports avec certaines personnes et puis je trouve que le travail qu‘on a fait là-bas était extrêmement intéressant et que c‘était le départ de quelque chose qui existe toujours. Donc voilà. Qu‘est-ce que vous voulez savoir le plus ?

  • Comment avez-vous rencontrer Schaeffer ?
    Oh là là, c‘est une longue histoire.
  • Voilà.
    Alors, bon, moi je fais le conservatoire comme chanteuse. Je suis sortie du conservatoire pour faire des concerts. Et c‘est effectivement, comme je m‘intéressais à la musique contemporaine, que je me suis mise en rapport avec le groupe de recherche contemporaine qui travaillait à l‘époque dans le 16e et avec un monsieur dans le nom [Schaeffer], je vous disais, ça va me revenir. C‘était le patron de ce groupe. C‘était celui qui a fait que la musique contemporaine en France est devenue quelque chose d‘intéressant et qui a appris une importance certaine.
    Son nom m’échappe pour l‘instant.
  • Vous parlez de Schaeffer?
    Schaeffer – voilà. Donc Schaeffer était un monsieur qui travaillait à la radio et qui a créé une espèce de… Bon, c‘était pas… Il a créé quelque chose qui appartenait à la radio, radio mais qui était différent de la radio, on faisait de la musique contemporaine. C‘est lui qui a créé ça et moi je suis entrée dans ce truc-là parce que on proposait du travail et que j‘étais toute jeune, je veux besoin de gagner un peu de sous et que je trouvais aussi que c‘était intéressant ce qu‘il proposait. Donc je suis entrée dans son … ça s‘appelle, …..parce que c‘était très intéressant parce qu‘il était le patron mais en fait quand on travaillait chez Schaeffer. On n‘était pas pour faire ceci pour faire cela on était chez Schaeffer et il se trouve que je parlais plusieurs langues donc ça m‘intéressait il m‘a envoyé au au Canada, très vite, pour aller… Il avait des rapports très… Le Canada était un endroit, surtout le Canada, Montréal, c‘était un endroit où on a fait beaucoup, beaucoup d‘expérience dans la musique contemporaine. Et à l‘époque, c‘était… –
  • C‘était aussi à la radio au Canada ?
    Non, mais ce n’était pas la radio. C‘était un… Comment je peux appeler ça ? C‘est une espèce de groupe musicale dont le nom m‘échappe pour l‘instant, je ne me souviens plus exactement comment se s‘appelait. Mais ça avait été créé par un musicien. On faisait des concerts, on faisait des… Et surtout on ne faisait que de la musique contemporaine. Il n‘était pas question de faire Bach ou du Mozart. J‘ai été envoyé là par la radio parce qu‘à la radio on avait créé un groupe de musique contemporaine. Et comme je parlais de l‘anglais, ils m‘ont envoyé là-bas pour représenter la France et la musique contemporaine en France. J‘ai passé à un bon moment là-bas, c‘était très sympathique, très agréable, j‘ai rencontré beaucoup de gens. Et surtout, ce qui moi m‘a beaucoup plu, c‘est qu‘on avait l‘impression de pouvoir faire avancer la musique contemporaine, non pas simplement en disant „j‘en fais“, mais en renseignant ce que fait ceux-ci, ce que fait celui-là, comment est-ce que ça marche, comment est-ce que les projets se développent, etc. J‘ai trouvé ça très très intéressant.
    Quand je suis revenue en France, naturellement, la radio m‘a demandé la musique contemporaine parce qu‘on avait quelque chose de spécial pour la musique contemporaine à la radio. Ce n’étaient pas simplement des petites choses comme ça, c‘était tout un groupe qui s‘appelait „Musique contemporaine avec Pierre Schaeffer“. Pierre Schaeffer, c‘est lui qui m‘a envoyé là-bas et quand je suis rentrée, il a fallu que je raconte tout, que je raconte, que j‘écris tout ce que j‘avais entendu et etc. etc…. Mais c‘était très intéressant. Je ne sais pas exactement ce que tout ça a devenu parce que moi,…. après je suis partie en Allemagne, donc j‘ai fait d‘autres choses et tant que le temps où j‘ai travaillé avec eux, on faisait des choses assez extraordinaires sur le plan de la musique contemporaine avec Pierre Schaeffer. Et puis…
  • [Comment se fait-il que vous vous soyez intéressé à la musique contemporaine ?]
    C’était normale. Quand on est jeune, on s‘occupe de ce qui se passe
  • Vous parlez de Schaeffer?
    Schaeffer – voilà. Donc Schaeffer était un monsieur qui travaillait à la radio et qui a créé une espèce de… Bon, c‘était pas… Il a créé quelque chose qui appartenait à la radio, radio mais qui était différent de la radio, on faisait de la musique contemporaine. C‘est lui qui a créé ça et moi je suis entrée dans ce truc-là parce que on proposait du travail et que j‘étais toute jeune, je veux besoin de gagner un peu de sous et que je trouvais aussi que c‘était intéressant ce qu‘il proposait. Donc je suis entrée dans son … ça s‘appelle, …..parce que c‘était très intéressant parce qu‘il était le patron mais en fait quand on travaillait chez Schaeffer. On n‘était pas pour faire ceci pour faire cela on était chez Schaeffer et il se trouve que je parlais plusieurs langues donc ça m‘intéressait il m‘a envoyé au au Canada, très vite, pour aller… Il avait des rapports très… Le Canada était un endroit, surtout le Canada, Montréal, c‘était un endroit où on a fait beaucoup, beaucoup d‘expérience dans la musique contemporaine. Et à l‘époque, c‘était… –
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Das ist ein Text bei dem der Zeilenabstand über einen globalen Wert definiert wurde. Nicht alle Schriftgrössen rendern mit demselben zeilenabstand ros ut tortor vitae orci nulla Pellentesque et est libero enim. Felis Aliquam est accumsan Phasellus velit magna Curabitur Phasellus et lacus. Iaculis ut sodales mus Mauris nunc tempus Quisque facilisi Curabitur urna. Tempor nec Vestibulumat pede non quis neque purus. Ridiculus at malesuada consectetuer ut senectus quis nibh laoreet dolor consectetuer. Id dapibus et. Eros ut

 

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(1) 12. Irgendeine fussnote

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    Non, mais ce n’était pas la radio. C‘était un… Comment je peux appeler ça ? C‘est une espèce de groupe musicale dont le nom m‘échappe pour l‘instant, je ne me souviens plus exactement comment se s‘appelait. Mais ça avait été créé par un musicien. On faisait des concerts, on faisait des… Et surtout on ne faisait que de la musique contemporaine. Il n‘était pas question de faire Bach ou du Mozart. J‘ai été envoyé là par la radio parce qu‘à la radio on avait créé un groupe de musique contemporaine. Et comme je parlais de l‘anglais, ils m‘ont envoyé là-bas pour représenter la France et la musique contemporaine en France. J‘ai passé à un bon moment là-bas, c‘était très sympathique, très agréable, j‘ai rencontré beaucoup de gens. Et surtout, ce qui moi m‘a beaucoup plu, c‘est qu‘on avait l‘impression de pouvoir faire avancer la musique contemporaine, non pas simplement en disant „j‘en fais“, mais en renseignant ce que fait ceux-ci, ce que fait celui-là, comment est-ce que ça marche, comment est-ce que les projets se développent, etc. J‘ai trouvé ça très très intéressant.
    Quand je suis revenue en France, naturellement, la radio m‘a demandé la musique contemporaine parce qu‘on avait quelque chose de spécial pour la musique contemporaine à la radio. Ce n’étaient pas simplement des petites choses comme ça, c‘était tout un groupe qui s‘appelait „Musique contemporaine avec Pierre Schaeffer“. Pierre Schaeffer, c‘est lui qui m‘a envoyé là-bas et quand je suis rentrée, il a fallu que je raconte tout, que je raconte, que j‘écris tout ce que j‘avais entendu et etc. etc…. Mais c‘était très intéressant. Je ne sais pas exactement ce que tout ça a devenu parce que moi,…. après je suis partie en Allemagne, donc j‘ai fait d‘autres choses et tant que le temps où j‘ai travaillé avec eux, on faisait des choses assez extraordinaires sur le plan de la musique contemporaine avec Pierre Schaeffer. Et puis…
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